Imaginez que vous êtes un patient souffrant d’une allergie à un médicament, p.ex. à la pénicilline ou à un agent de contraste radiographique et, parce que ces informations n’ont pas été saisies de manière structurée chez votre généraliste ni dans votre hôpital, vous recevez par erreur au service d’urgence hospitalier un médicament de ce type ayant des effets secondaires indésirables pouvant aller d’une éruption cutanée et de démangeaisons ou d’urticaire à la détresse respiratoire, à des pertes de conscience et même à un arrêt cardiaque dans des cas graves. Chez CISTEC, nous pensons que de tels problèmes devraient pouvoir être évités de nos jours. C'est aussi le but avoué d’un nouveau format d’échange des informations sur les allergies en faveur duquel nous nous sommes fortement engagés cette année. Comme c'est le cas pour les données de médication, des données structurées sur les allergies doivent aussi être échangées entre les établissements de santé et les systèmes primaires comme KISIM doivent pouvoir mettre en garde contre de tels risques de manière fiable.

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